
Wettelijk en ethisch gebruik van GPS-tracking bij mobiele werknemers in België
Ontdek hoe je GPS op het werk correct gebruikt volgens GDPR, zonder privacy van je mobiele werknemers te schenden.
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L’introduction de l’enregistrement horaire numérique sur les chantiers en Belgique est imminente pour 2025. L’avis n° 2.465 du Conseil National du Travail (CNT), publié le 5 novembre 2025, confirme que la législation belge imposera désormais l’enregistrement digital de l’arrivée et du départ (check-out) de chaque travailleur présent sur chantier, dans le secteur de la construction.
Cette mesure s’inscrit dans le cadre de l’accord de gouvernement 2025–2029 et vise à renforcer la sécurité au travail tout en luttant contre la fraude sociale dans la construction. Pour s’adapter à ces nouvelles exigences sans équipement physique, Done-it propose une solution 100 % mobile de pointage numérique, permettant à chaque travailleur d’enregistrer ses entrées et sorties directement depuis son smartphone, sur n’importe quel chantier.
Les entreprises peuvent ainsi répondre aux obligations légales d’enregistrement horaire en Belgique sans infrastructure fixe, en gérant leur conformité digitale sans terminal supplémentaire.
La réglementation actuelle en matière de contrôle de présence sur les chantiers belges repose sur le système CheckIn@Work. Selon le guide officiel de la SIRS, « l’enregistrement doit se faire chaque jour, avant le début effectif du travail sur chantier ».
En pratique, cette obligation s’applique aux chantiers dont le montant total dépasse 500.000 € hors TVA. Les employeurs doivent enregistrer chaque travailleur via la plateforme sécurisée de l’ONSS.
L’avis 2.465 du CNT analyse un projet d’arrêté royal qui étend cette réglementation : à l’obligation de check-in s’ajoute désormais celle du check-out, c’est-à-dire enregistrer aussi la sortie du travailleur.
Le CNT précise que ce nouvel arrêté devra entrer en vigueur au plus tard le 1er janvier 2027, et avertit que les manquements seront sanctionnés selon le Code pénal social belge.
L’obligation d’un check-out numérique dans la construction alourdit la charge administrative des entreprises, mais introduit également un mécanisme de contrôle interne qui améliore la traçabilité des heures de travail.
Un mauvais enregistrement peut entraîner des sanctions sévères : après la période transitoire, la loi prévoit des amendes de 80 à 800 € (niveau 1) pour l’omission du pointage d’entrée ou de sortie, et des sanctions plus graves peuvent aller jusqu’à 8.000 €, voire 16.000 € d’amende pénale en cas d’infraction lourde (leglobal.law).
Ces montants illustrent les risques lors d’un contrôle de l’Inspection sociale. À l’inverse, une solution de pointage 100 % digital renforce la transparence et facilite les vérifications, en garantissant une preuve fiable des heures prestées et en évitant les litiges manuels.
L’introduction de l’enregistrement horaire numérique sur les chantiers en Belgique est imminente pour 2025. L’avis n° 2.465 du Conseil National du Travail (CNT), publié le 5 novembre 2025, confirme que la législation belge imposera désormais l’enregistrement digital de l’arrivée et du départ (check-out) de chaque travailleur présent sur chantier, dans le secteur de la construction.
Cette mesure s’inscrit dans le cadre de l’accord de gouvernement 2025–2029 et vise à renforcer la sécurité au travail tout en luttant contre la fraude sociale dans la construction. Pour s’adapter à ces nouvelles exigences sans équipement physique, Done-it propose une solution 100 % mobile de pointage numérique, permettant à chaque travailleur d’enregistrer ses entrées et sorties directement depuis son smartphone, sur n’importe quel chantier.
Les entreprises peuvent ainsi répondre aux obligations légales d’enregistrement horaire en Belgique sans infrastructure fixe, en gérant leur conformité digitale sans terminal supplémentaire.
La réglementation actuelle en matière de contrôle de présence sur les chantiers belges repose sur le système CheckIn@Work. Selon le guide officiel de la SIRS, « l’enregistrement doit se faire chaque jour, avant le début effectif du travail sur chantier ».
En pratique, cette obligation s’applique aux chantiers dont le montant total dépasse 500.000 € hors TVA. Les employeurs doivent enregistrer chaque travailleur via la plateforme sécurisée de l’ONSS.
L’avis 2.465 du CNT analyse un projet d’arrêté royal qui étend cette réglementation : à l’obligation de check-in s’ajoute désormais celle du check-out, c’est-à-dire enregistrer aussi la sortie du travailleur.
Le CNT précise que ce nouvel arrêté devra entrer en vigueur au plus tard le 1er janvier 2027, et avertit que les manquements seront sanctionnés selon le Code pénal social belge.
L’obligation d’un check-out numérique dans la construction alourdit la charge administrative des entreprises, mais introduit également un mécanisme de contrôle interne qui améliore la traçabilité des heures de travail.
Un mauvais enregistrement peut entraîner des sanctions sévères : après la période transitoire, la loi prévoit des amendes de 80 à 800 € (niveau 1) pour l’omission du pointage d’entrée ou de sortie, et des sanctions plus graves peuvent aller jusqu’à 8.000 €, voire 16.000 € d’amende pénale en cas d’infraction lourde (leglobal.law).
Ces montants illustrent les risques lors d’un contrôle de l’Inspection sociale. À l’inverse, une solution de pointage 100 % digital renforce la transparence et facilite les vérifications, en garantissant une preuve fiable des heures prestées et en évitant les litiges manuels.
La manière la plus simple et efficace de se conformer à cette obligation est d’adopter un système de pointage 100 % digital et mobile. Done-it répond parfaitement à ce besoin : chaque travailleur utilise son smartphone personnel pour enregistrer son arrivée et son départ du chantier, sans badge ni appareil supplémentaire.
La législation belge prévoit que les travailleurs doivent s’enregistrer eux-mêmes — une exigence que Done-it respecte en permettant le pointage autonome via son application mobile. L’heure (et éventuellement la localisation) est automatiquement enregistrée à chaque pointage, garantissant une traçabilité complète et évitant les manipulations.
En plus, Done-it génère des rapports légaux détaillés que l’entreprise peut consulter ou exporter à tout moment. Cela simplifie considérablement les démarches administratives auprès de l’ONSS ou d’autres autorités.
Ainsi, le contrôle horaire reste conforme à la législation belge sans charge technique ni coûts additionnels.
La mise en œuvre du pointage d’entrée et de sortie digital sur les chantiers belges est une réalité qui nécessite une préparation immédiate. Grâce à des outils mobiles comme Done-it, les entreprises peuvent s’adapter sans investissement en matériel.
Done-it offre un système de pointage mobile, fiable et légal, garantissant la traçabilité de chaque journée de travail et facilitant l’application de la nouvelle règle de check-in/check-out.
En résumé, il s’agit d’une solution complète pour respecter les obligations de pointage horaire en Belgique sans complexité, tout en renforçant la sécurité au travail et la transparence dans la gestion des chantiers.
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